Au bas de la rue actuelle se trouvait l’un des soixante étangs qu’alimentait le Maelbeek, autour duquel poussaient des roseaux. Il s’agit ici d’un exemple typique d’erreur de traduction : en néerlandais médiéval, la rue s’appelait ‘t Rooststraat (rue du Roseau) et elle devint plus tard, par erreur de transcription, Trooststraat (rue de la Consolation).